top of page
Mise en abyme
Mise en abîme
On songe d’abord aux dessins de Escher ou à l’anneau de Moebius : on a beau être concentré, attentif, suivre au plus près la ligne d’action, jamais il n’est possible de trouver le début ou la fin. La mise en abîme est donc bien aussi de l’ordre du mouvement perpétuel : ça ne finit jamais et c’est bien ce qui est fascinant, tantôt envoûtant, tantôt angoissant. Entrer dans ce motif, c’est bien risquer de ne plus pouvoir en sortir.



bottom of page